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philippe randa - Page 4

  • Alain de Benoist prend un verre au Bistrot Libertés !...

    Le 25 octobre 2014, Alain de Benoist était l'invité, aux côtés de Béatrice Bourges, de Nicolas Gauthier, de Philippe Randa et de Nicolas Gardères, du Bistrot Libertés, une excellente émission de débats diffusée par TV Libertés et animée par Martial Bild.

    Au sommaire des échanges :

    - la Zemmourisation des esprits

    - Berlin, nouvelle capitale de l'Europe ?

    - les salles de shoot

    - l'artiste peut-il tout se permettre ?

     

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  • Le roman noir des demandeurs d'asile...

    Les éditions L'Æncre viennent de publier Le Roman noir des demandeurs d'asile, une enquête de Philippe Randa, préfacée par Jean-Yves Le Gallou. Journaliste, chroniqueur, éditeur, mais aussi auteur de polars et de romans de science-fiction, Philippe Randa a publié de nombreuses enquêtes sur des sujets sensibles.

     

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    " Qui a déclaré : « Toutes les demandes (d’asile) ne se valent pas et il faut pouvoir les hiérarchiser. Il faut être lucide et avoir bien conscience des pays d’où viennent les abus, sans stigmatiser les populations. Une part non négligeable de la demande d’asile correspond en réalité à de la migration économique » ?

    Il s’agit de celui qui deviendra Premier ministre, alors qu’il n’était encore QUE ministre de l’Intérieur : Manuel Valls.

    Cette lucidité, pour employer son propre terme, est celle qu’il a avoué lors d’un entretien au quotidien vespéral Le Monde, le 4 mai 2013 !

    Comme l’indique le titre, ce livre aborde les aspects honteux, scandaleux, les dérives inadmissibles et les conséquences fâ­cheuses, voire dramatiques, d’un système désormais aux mains de véritables maffias associatives, généralement politisées à outrance, mais bien plus souvent encore motivées par la simple cupidité. "

     

    Sommaire :

    La grande arnaque au droit d’asile…

    I – La réforme en cours, un appel d’air supplémentaire pour l’immigration…

    II – La Garantie universelle des loyers pour les demandeurs d’asile d’abord !…

    III – Vous avez aimé l’ausweis vert-de-gris ? Vous adorerez l’ausweis « prima facie »…

    IV – Explosion des demandes d’asile politique à travers le Monde …

    V- L’Europe aux 28 frontières grandes ouvertes…

    VI – La culpabilisation, cheval de Troie des demandeurs d’asile…

    VII – Demandeurs d’asile : mieux vaut qu’ils n’aillent pas se faire voir chez les Grecs !

    VIII – Des réfugiés syriens, totalement « ina­­perçus » des autorités françaises…

    IX – En Sicile, après Cosa nostra, Cosa vaccina ?…

    X – Amnesty International à l’assaut de la « Forteresse Europe » !…

    XI – Les migrants du pont Kitchener à Lyon…

    XII – Les inévitables sas communiquants entre demandeurs d’asile et criminalité…

    XIII – Le rappel à plus de solennité par le Sénat…

    XIV – Du « cartable documentaire électronique » présenté obligeamment par la CNDA… aux faux documents en vente dans les étages d’une Cour Suprême…

    XV – Petites filles encore « entières » ou homosexuels présumés : des groupes sociaux en danger potentiel…

    XVI – Un juteux business pour certains cabinets d’avocats spécialisés

    En conclusion : Le cas Edward Snowden…

     

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  • Du pain, des jeux et des sondages !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Philippe Randa, cueilli sur son site Francephi.com et consacré au déferlement désormais quotidien des sondages sur tous les sujets...

     

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    Du pain, des jeux et surtout des sondages

    Pourrait-on se passer des sondages ? Difficilement, à les voir désormais omniprésents sous toutes les formes possibles et imaginables à tout moment de notre existence.

    À croire que s’exprimer ou entendre les uns ou les autres donner une opinion parfois incertaine, généralement péremptoire, est devenue vital à notre bonheur terrestre.

    Mange-t-on trop/pas assez de viande ? Regarde-t-on trop/pas assez la télévision ? Faisons-nous trop/pas assez de sport ? Doit-on retourner sur la lune ? Pensez-vous qu’Obama soit réélu ? Pippa Middleton est-elle plus coquine que sa sœur Catherine (épouse du prince William, duc de Cambridge) ? Craignez-vous davantage les OGM que les Martiens,  les Islamistes que les pannes sexuelles ou les embouteillages que les radars ? Préférez-vous le RER au Métropolitain ou passer vos vacances à Mulhouse plutôt qu’à pétraouchnock-sur-bettrave ? etc., etc., etc.

    La débilité des questions semble avoir imprégné jusqu’aux organes sensés nous informer des grands événements du Monde en général et de notre pays en particulier.

    Ainsi, Le Figaro… Le quotidien demande chaque jour à ses lecteurs de s’exprimer sur un sujet d’actualité… Et quels sujets ! Les plus pertinents, bien sûr… Celui de ce jour, même si la question est brutale, est excitant en diable, jugez-en : « Hollande devrait-il impliquer davantage Royal dans sa campagne ? » C’est « oui » ou c’est « non », les sondés n’ont même pas l’alternative de répondre que ce ne sont pas leurs oignons…

    Qu’une telle question concernant la campagne présidentielle du candidat socialiste, soit posée aux lecteurs d’un média jugé le « plus à droite » de la presse française quotidienne – et perçu sans doute comme cela par la plupart de ses lecteurs qui n’ont pas réalisé que l’époque où Robert Hersant le dirigeait était belle et bien révolue et depuis fort longtemps – ne manque pas de piquant. Quoique l’expression plus populaire de « foutage de gueule » conviendrait mieux.

    Poser une telle question à un lectorat probablement fort peu sensible à la réthorique progressiste, revient au même qu’à demander aux lecteurs de Charlie Hebdo si Marine Le Pen devraient porter des tailleurs de préférence à des robes ou se coiffer comme-ci plutôt que comme-ça, à ceux de L’Humanité de savoir si François Bayrou serait plus seyant avec moustache et catogan… ou encore à ceux de L’Express ou du Point si Nathalie Artaud et Philippe Poutou devrait faire un petit ensemble pour que Lutte ouvrière et le Nouveau Parti anticapitaliste se réunissent…

    À Rome, l’obsession des dirigeants étaient de donner au peuple du « pain et des jeux » pour qu’il se tienne tranquille. La recette avait fait ses preuves, nul ne le contestera et on en a ensuite usé et abusé. Mais autre temps, autres mœurs, on demande aujourd’hui au citoyen-électeur de donner son avis à tort et à travers pour qu’il se croit acteur du jeu. Ça doit lui suffire, à lui aussi. Et puis, c’est plus facile à organiser et ça coûte moins cher. Que du bonheur !

    Philippe Randa (Francephi, 5 avril 2012)

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  • Personnalités "préférées" ou "politiquement correctes" ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un plaisant billet d'humeur de Philippe Randa, cueilli sur le site Voxnr et consacré à l'étonnant classement des personnalités préférées des Français réalisé par le Journal du dimanche...

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    Personnalités "préférées" ou "politiquement correctes" ?

    Le classement des personnalités préférées des Français, réalisé par l’Ifop pour Le Journal du Dimanche, est, paraît-il, attendu chaque année avec impatience. Ah bon !

    La cuvée 2012 est toutefois surprenante. D’abord, les trois premiers noms : Numéro 1 (à nouveau), Yannick Noah. Numéro 2, Zinedine Zidane. Numéro 3, Omar Sy… Ceux qui doivent être heureux sont les obsédés de l’anti-racisme : ce classement est la concrétisation de tous leurs rêves… ou de leurs fantasmes : pas un « de souche »(1) ne vient semer le « trouble de la repentance » sur les premières marches du podium. Voilà une société comme ils la désirent tant. Elle est là… du moins dans les réalisations tarifées de l’Ifop.

    Les noms suivant dans la liste déparent à peine : Gad Elmaleh, Jean Dujardin, Jamel Debbouze, Dany Boon et Florence Foresti… Seuls des esprits chagrins pourraient demander : « Pourquoi Jean Dujardin et Florence Foresti ? » Pourquoi pas !

    Ce classement dont le résultat a été largement diffusé dans les médias laisse perplexe. Sauf à imaginer que le « politiquement correct » ait justifié toutes les « corrections » nécessaires au nom du « lourd fardeau de l’homme blanc », tel que l’avait défini voilà déjà longtemps Rudyard Kipling et si donc, ce classement correspond à la réalité, y a-t-il vraiment de quoi s’enthousiasmer au-delà de toute considération politique ? Car ces personnalités « préférées » s’avèrent être exclusivement des sportifs et des saltimbanques. Loin de moi l’idée de mépriser les premiers comme les seconds, mais il est tout de même difficile de croire que les noms qui viennent spontanément à l’esprit des citoyens soient ceux d’un joueur de tennis dont les prouesses sur les cours remontent tout de même à 1983 (tournoi de Roland-Garros), 1991 et 1996 (victoire en Coupe Davis de l'équipe de France dont il était capitaine)… Ce n’est pas rien, mais date tout de même de plus de 16 ans ! La chansonnette dans laquelle il s’est reconverti depuis, pas trop mal d’ailleurs, peut difficilement expliquer la pérennité d’un tel engouement.

    De même, d’un joueur de football, certes exceptionnel, mais dont la fin de carrière reste entachée par une expulsion en finale de Coupe du monde sur carton rouge pour un coup de tête au thorax à un joueur adverse. Pour beaucoup, cela priva la France de la victoire… Et ses prestations, depuis, dans de multiples spots publicitaires ne font guère envisager sa reconversion possible sur les planches pour jouer du Shakespeare.

    Plus stupéfiant encore est le troisième « élu », le comédien Omar Sy, bien rigolo avec son complice Fred dans les sketchs TV « Service après-vente des émissions », dont le talent n’est, lui aussi, pas en cause encore une fois, mais qui ne doit sa soudaine « starisation » qu’au succès d’un film sorti en salle à peine 9 mois plus tôt.

    C’est bien connu grâce à Blaise Pascal, « le cœur a ses raisons que la raison ignore », mais il fut une époque où les personnalités d’un tel classement avaient noms Cousteau, commandant de son surnom, ou même Pierre, Abbé de son état… Quoi que l’on pense d’eux, le premier a permis au grand public de découvrir le monde de la mer et ses mystères, ce qui n’est pas tout à fait rien… et le second, même si ses prestations finissaient par irriter jusqu’aux plus tolérants, a contribué a soulager bien des misères…

    Ni l’un, ni l’autre n’étaient mes personnalités « préférées », mais je conçois qu’elles l’aient été pour beaucoup… La cuvée 2012, non, finalement, me laisse vraiment dubitatif.

    Enfin, je souhaite tout de même une très bonne nouvelle année à tous ceux qui ont la faiblesse de lire mes « chroniques barbares »(2)… et s’il y a parmi eux des sportifs et des saltimbanques, j’espère qu’ils ne me tiendront pas trop rigueur de mon très mauvais esprit !

    Philippe Randa

    1) Ou « souchiens », selon la bien peu délicate expression d’Houria Bouteldja, porte-parole du parti des Indigènes de la République, qui a été, pour cela, mise en examen pour racisme anti français et injure raciale à l’égard des Français sur plainte de l’AGRIF (association contre le racisme anti-blanc et anti-chrétien - http://lagrif.fr) devant le tribunal de Toulouse.

    (2) Je leur promets de faire tout mon possible pour laisser passer le moins de fautes d’étourderie possible… même si, hélas ! on sait tous trop bien ce que valent les bonnes résolutions de début d’année. La preuve, sans doute, avec cette première chronique de 2012.

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  • Sur le chemin de Damas...

    Dans le numéro 73 de Flash, le journal gentil et intelligent, on miaule et on s'aiguise les griffes avec Alain de BenoistArnaud Guyot-Jeannin et Topoline, on prend le chemin de Damas avec Christian Boucher, on casse sa calculatrice avec Pierre le Vigan, on s'inquiète avec Philippe Randa et on fait des singeries avec Nicolas Gauthier ... Bonne lecture !

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    Heureux comme un chat en France ? Un dossier qui miaule, griffe et ronronne : Alain de Benoist avoue se méfier des hommes qui n'aiment pas les chats, Arnaud Guyot-Jeannin nage dans le bonheur félin et Topoline panse ses plaies.

    Tout ce que l'on vous cache... : notre reporter sur le chemin de Damas, Christian Bouchet a sillonné le pays. Il en est revenu entier et étonné...

    Responsable mais pas coupable, une habitude chez les leaders socialistes ? Et toujours la "mamma" Sinclair qui veille au grain... Arrangements judiciaires et cuisine de famille...

    Pierre le Vigan nous l'assure : les chiffres ne font pas le bonheur et le monde n'est pas une addition !

    Philippe Randa commence à s'inquièter ferme : et si Sarkozy rempilait ?

    De "Joyeuse", l'épée de Charlemagne et du sacre des rois de France à "Excalibur", l'épée mythique du Roi Arthur, une expo très "chevalresque" à voir au musée de Cluny.

    Les chats en ouverture et les singes pour finir : Topoline a vu le dernier opus de Ruppert Wyatt et Nicolas Gauthier fait la revue des velus, tous les King et les Kong en peluche ou en carton pâte.

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  • Un terroriste très néo con...

    Dans le numéro 72 de Flash, le journal gentil et intelligent, on s'intéresse au très étrange Anders Behring Breivik, puis on part crapahuter sur les cyber champs de bataille où la guerre fait rage. Pour nous remettre de nos émotions, Philippe Randa nous commente le hit parade de l'été - sexe, pognon et politique – avant de nous laisser partir faire la teuf avec Topoline à Saint Eustache, au concert de Pierre Henry ... Bonne lecture !

     

     

    Anders Behring Breivik, Christian Bouchet, Clovis Casadue,barbouzes, Iran, CIA, Mossad, Cyberattaques, Troisième guerre mondiale, Marie-Claude Roy , Maurras, Action Française, François Marcilhac, Arnaud Guyot-Jeannin, Sexe, pognon, politique, Philippe Randa, Ramezanali Vashegani Farahani, Pierre Henry, techno, Saint Eustache, Topoline

     

    Au sommaire :

     

    Anders Behring Breivik, un terroriste très néo con : Christian Bouchet balaie les fantasmes et Clovis Casadue débusque les barbouzes

     

    Purges des scientifiques en Iran : pas de vacances pour la CIA et le Mossad

     

    Cyberattaques : la Troisième guerre mondiale fait rage ; Marie-Claude Roy se planque

     

    Maurras (suite et fin) : qu'en dit-on à l'Action Française ? François Marcilhac se confesse dans ce numéro

     

    Le pouvoir économique a-t-il totalement mangé le pouvoir politique ? Eléments de réponse avec Arnaud Guyot-Jeannin

     

    Sexe, pognon et politique : le hit parade de l'été commenté par Philippe Randa

     

    Culture iranienne ? L'intellectuel iranien Ramezanali Vashegani Farahani malmène les idées reçues

     

    Pierre Henry : le père de la techno a fait trembler Saint Eustache ; Topoline y était

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